jeudi 30 juillet 2015

Tu sais que tu viens de la campagne quand...

À tout mes amis, ma famille et tout le monde qui viennent de région ou campagne... Cet article est pour vous!

On en a vu quelques un passé dans notre feed facebook, mais j'avais envie d'écrire le mien. Mon article sur les gens qui ne viennent pas de la ''gran'ville''. Parce que comme on dit, on peut sortir la fille de la campagne, mais pas la campagne de la fille. Oh que noooo. Alors, toi, cher paysan (ok j'abuse peut-être un peu), avoue que tu retrouves tes racines campagnarde quand...

1. Tu habites en ville depuis 5 ans, retourne à l'épicerie du coin de ton village natal à peine 5 minutes, et que quelqu'un te dit : ''T'es pas la 2e à [insérer le nom de votre père ici] ti-boss toi par hasard?

2. L'odeur de vache ne te dérange plus. Pendant que tout le monde hurle au désespoir dans la voiture pour les rares fois qu'il y a cet odeur en ville, toi t'es comme : ''arrêteeee, c'est l'odeur de l'air frais!''

3. T'as eu ton permis le jour pile de tes 16 ans ET ton ''char'' aussi.

4. Vous étiez genre 5 dans ton année scolaire au primaire.

5. Tu sais ''chauffer'' un 4 roues depuis l'âge de 8 ans.

6. Tu te commande une grosse 50 quesement tablette en arrivant au bar.

7. Tu connais tout le monde des environs et les 10 villages autour du tient te connaissent aussi.

8. Tu connais également les histoires de la population entière du village.

9. T'as déjà servi la messe, un peu trop souvent d'ailleurs, le dimanche matin.

10. Tu croises quelqu'un une fois par année, pi c'est quand tu vas à la messe de minuit à l'église dans laquelle tu as été baptisé, faite ta première communion, ta confirmation et peut-être même ton mariage et probablement tes funérailles.

11. T'es excité de tomber sur un casse-croûte à Québec.

12. Quand tu commences à conduire, passer sur le pont c'est VRAIMENT stressant. Il y a plein d'auto partout et toi tu es habitué aux routes de terre du fond de ton rang.

13. Tu as déjà été duc/duchesse du carnaval ou du festival de ton village.

14. Tu trippes sur le derby de démolition et les show de boucanes, gros évènement ça là!

15. Tu capotes raide sur les festivals.

16. Ton premier french était probablement ton voisin.

17. T'as sorti avec tous les gars de ton village, parce qu'ils se faisaient rare.

18. T'es une fille pi une douze de 50 ça te fait pas peur pentoute.

19. ''Cali...'' et ''tabar...'' font parti de ton vocabulaire fréquent.

20. Tu sais tirer du 12. Fille ou gars, ça pas d'importance.

21. T'as déjà croisé un ours. Pi quand tu croises un ''chevreu'' sur le bord de la route tu le spécifie même pu parce que par chez nous, c'est comme un humain tellement il y en a.

22. T'as eu le même prof de la 1ère à la 6e année.

23. Ça te prend 3 ans comprendre comment le transport en commun de la ville fonctionne.

24. Tu fais de la ''drift'' avec ton char.

25. Tu te tenais avec ta soeur (allô Annie) et sa gang même si t'avais 8 ans et ta soeur 14 ans.

26. T'es encore bénévole au festival.

27. Marcher toute seule dans le bois te fait pas peur.

28. T'es capable d'allumer un feu avec du bois mouillé.

29. Ton animal de compagnie quand t'étais jeune était des poules.

30. T'es aller à ton bal des finissants avec ton premier french.

Ah! Ça fait du bien de retourner à nos racines. On dirait bien ce qu'on voudra, mais la campagne et le monde de région, c'est du bon monde en taaaaaa(!!).

Quand ça fera environ 15 ans que j'habiterai à Québec, j'écrirai peut-être un article : tu sais que tu viens de la ville quand... Mais c'est certain que ce ne sera pas aussi drôle!

On est bien chez nous! 

S. xox

mercredi 29 juillet 2015

I'm not dead!

Je ne vous ai pas oublié. J'ai juste déposé mon crayon un peu. Pas parce que je n'avais pas d'idée de quoi vous parler. Au contraire, j'en avais au minimum mille. Mais je ne savais pas par où commencer et surtout quelle limite je pouvais atteindre.

Ces derniers temps, je me suis sentie en échec. J'ai eu les résultats médicaux que j'attendais depuis plus d'un an, suite à mon accident de bolide en mai 2014. Bon, disons que ce n'est pas les résultats que je m'attendais à avoir. Ou plutôt, pas ceux que je souhaitais avoir. Ce que je croyais qui serait une page tournée dans l'histoire de ma vie à partir de ce jour, se rallonge finalement. 

C'est très lourd. C'est épuisant. C'est dur à accepter. C'est même un deuil à faire pour certaines choses. C'est aussi d'apprendre à vivre avec une douleur chaque jour. C'est aussi de dire à ses amis : oh, je ne peux pas venir monter ce mont là avec toi, tu sais, ma jambe et mon dos... Je ne peux pas me remettre au sport. C'est essayer de se convaincre à chaque fois, que bientôt, oui bientôt, ça ira mieux...

C'est de se remettre en question. C'est aussi de se demander si un jour, ce sera possible d'atteindre ses nouveaux objectifs qui autrefois, était mon quotidien. C'est de finir par se trouver lourde soi-même à force de penser négativement. C'est de se mettre dans un état pitoyable par bout. C'est de trouver encore plus de noir dans son histoire chaque jour. C'est de se décourager et avoir envie de baisser les bras par moment. C'est d'en venir à mélanger toutes les choses qui fonctionnent moins bien dans sa vie. C'est finalement, de tout mettre dans le même panier à venir qu'à s'étourdir et se dire qu'au fond, tout ça c'est de la vraie dump.

C'est de me demander en réalité où est ma place pour de vrai? Quand je suis en ville, je cherche les grands espaces de la campagne. Quand je suis à la campagne, je cherche les lumières de la ville. Quand je suis ici, en ville, je m'étourdie facilement. Et quand je suis à la campagne, je fini par m'ennuyer. C'est donc de finalement se demander si je suis bien à une place? Ou a aucune? C'est de m'ennuyer de la fille si simple que je suis à la base. C'est de m'avouer que maintenant, j'ai toujours besoin de plus et même parfois de l'impossible pour tirer satisfaction. 

C'est de s'accrocher à toi, que je n'aurai plus jamais. C'est de continuer d'espérer que tu ne m'as pas oublié et que tu finiras par changer d'idée. C'est de se dire que ça ne sert à rien, sauf d'amener des larmes qui n'en valent finalement pas la peine et de les ravaler en se disant que c'est terminé. C'est d'en venir à perdre un peu d'estime de soi à force de patcher son coeur, plasteurs par-dessus plasteurs.

C'est d'avoir hâte d'arriver à quelque part et finalement avoir hâte de s'en aller. C'est de vouloir être de plus en plus solitaire. C'est de remettre l'honnêteté de sa meilleure amie en question. C'est de se dire qu'au fond, il n'y a que sur nous sur qui nous pouvons compter. C'est de voir que tu penses beaucoup trop et que tu t'en viens déprimante à force d'encaisser des mauvaises nouvelles.

Tout ce beau package mélancolique, c'est de finalement se dire qu'on a encore du travail à faire sur nous. C'est d'accepter notre vie comme elle nous est destinée. C'est d'apprendre à s'aimer à travers les échecs et les blessures. C'est d'essayer de garder son mental assez fort pour se retrousser les manches et relever son petit menton un peu amoché une fois de plus. C'est de trouver sa place dans cet univers des plus étourdissants. C'est d'essayer de trouver un sens à la vie à travers ce qu'on ne peut pas maîtriser. C'est d'apprendre à laisser aller les choses et les gens qui doivent prendre la prochaine sortie sur l'autoroute de notre vie. C'est de fermer les yeux et se dire que demain, oui demain, tout ira mieux.

Il est exactement 3h02 du matin. Je ferme mon laptop et bientôt mes yeux. En me disant que demain, sera un pas de plus vers l'acceptation de ce qui me quitte. C'est de tenter de trouver d'autres petits bonheurs à travers les petits malheurs. Mais tout ça, c'est surtout de convaincre l'abandon, que tu ne veux pas l'abandonner, quand lui, semble t'abandonner. 

Bonne nuit les simplistes.

S. xox

lundi 20 juillet 2015

Ton grilled cheese a tout changé

J’avais envie de te dire des mots. Mais tu sais comme moi que plus souvent qu’autrement, ces mots là sortent tout croches et finissent dans le sens complètement contraire du plan initial. Tu le sais très bien, parce que vendredi passé tu m’as dit que t’avais l’impression que desfois, je ne suis pas la même fille le soir que le matin. Que tu préférais celle du matin. Je te l’accorde.

Alors j’ai décidé de t’écrire. Comme ça je risque moins de m’enfarger dans mes mots pi de me planter à pleine face encore une fois.

Ça drôlement commencé cette histoire-là. Ça même commencé avec tes doigts dans mon nez, bizzare quand même. Et puis après ça, ça été à la vitesse de l’éclair jusqu’à ce que je rentre dans un mur de la rue St-Joseph un certain vendredi.

Un bon temps mort de deux semaines ou je voulais te voir brûler en enfer. Rien de moins, tu me connais.

Et puis après, le calme et la paix en moi sont revenu. Ça faite du bien. On s’est recroisé, ça faite du bien l’instant de quelques jours.

Un certain soir du festival d’été, je suis débarqué chez vous, assez tard, avec une petite âme déchue et perdue. Je sais que tu l’as vu dans mes yeux. C’est pas toujours évident de dealer avec la peine de quelqu’un, surtout quand tu sais que tu en est la cause principale, hein? Mais je voulais juste te dire au fond que tu l’as. Ouais, tu l’as vraiment, même si tu t’en rends pas compte par boute, pour remettre les gens sur pieds.

Je me suis assise sur le trottoir. Je sais que t’avais pas tant envie de discuter à cet heure-là et dans les circonstances. Et puis, tu m’as demandé si j’avais faim. Je t’ai répondu que j’avais pas soupé. T’es monté en haut dans ton appartement et t’es revenu avec ta moitié de grilled cheese. Tsé, t’aurais pu être égoïste et la garder pour toi, parce qu’il était bon en maudit. Mais non, tu me l’as offert. C’est tellement un beau geste de ta part. T’es même remonté me chercher un verre d’eau parce que j'arrêtais pas de parler la bouche pleine. Dans ma tête, rien ne pouvait t’atteindre et tout te passait par-dessus la tête. T'étais un dur, intouchable. Mais ce soir-là, j’ai vu dans tes gestes une lueur de générosité et un petit gars plutôt doux. J’apprécie tellement.

T’aurais pu juste m’abandonner sur la chaîne de trottoir pi même pas me parler. Tsé, la présence d’un ami ça fait du bien quand tu feel pas, même si on parle pas. T’as voulu prendre soin de moi et t’assurer que je rentre chez nous, en sécurité, confortablement et avec la tête à la bonne place. Alors tu m’as appelé un taxi et tu m’as donné 20$ en me disant, rentre chez toi. Merci, tellement.

Le jour suivant quand je t’ai revu, je ne te voyais plus avec les mêmes yeux. J’ai pu envie de t’en vouloir pour rien depuis que t’as partagé ton grilled cheese. Même si plus souvent qu’autrement je te reprochais de ne pas être assez là, tu prends encore le temps d’être avec moi et de me faire rire. Tu sais, au fond, j’ai pas besoin de grand-chose. Juste de sentir que je compte un peu pour toi et que tu seras toujours là au bon moment et au bon endroit pour me remettre sur patte quand j’ai l’air d’avoir quitté la map.


C’est ce que je voulais te dire. Par texto ça aurait été trop long, pi t’aime pas ça les messages longs. En fin de soirée, ça aurait sûrement viré tout croche pi mal fini avec une couple de verres en trop. Et le jour ben, j’aurais peut-être pas eu tout ce beau courage là. Je voulais juste que tu le saches, que ton grilleed cheese a tout changé. Je sais que tu es une bonne personne et je remarquerai davantage tes gestes que tes paroles, comme tu m’as dit sous la pluie vendredi.

S. xox

mercredi 15 juillet 2015

À chacun sa poche!


Je vous avais parlé dans mon article sur le PopModeIn lors de mon passage au lancement de ModeIn Quebec en juin dernier, de mon véritable coup de cœur de la soirée. Eh bien, me voilà donc de retour avec un article sur ce véritable crush que j’ai eu pour Poches et Fils.

Il me fait plaisir de travailler en collaboration avec ces deux gars aux idées hors du commun pour cet article. Premièrement, j’ai adoré leur concept lorsque je suis allée à leur kiosque. Ils sont tellement sympathiques en plus! 

 Laissez-moi vous présenter un peu plus Poches et Fils.

Poches et Fils, c’est qui?

Ce sont deux jeunes entrepreneurs : Nicolas Dubeau et Anthony Vendrame pour être plus précise, qui ont décidé de se lancer en affaires avec un concept assez différent. Mais Poches et Fils, ça mange quoi en hiver? À part des hot-dogs comme sur la photo disons? En fait, le concept est simple, je t’explique.

www.pochesetfils.ca


Première étape : Tu choisis ton propre chandail. Il y a plusieurs modèles. Par exemple, pour les femmes, nous avons le choix entre un v-neck, un t-shirt col rond et une camisole style crop top. Il y a également trois choix de couleurs, soit le noir, le blanc et le gris. Mais là, arrive le moment le fun à la deuxième étape : C’est le temps de choisir ton modèle de poche. Oh god, il y a une foule de modèle passant du plus classique au plus funky. Sérieusement, vous ne verrez pas ces modèles de poches ailleurs, surtout celle du varil-baril qui m’a bien fait rire, comme de quoi ces deux gars là ne manquent pas d’idée!


Voici quelques autres modèles de poches que je trouve particulièrement intéressant.




Pour ma part, j’ai choisi ce modèle. Regardez le résultat final comme c’est chouette!

Bien sûr, il y a aussi des modèles pour hommes et même pour les enfants. Vous pouvez donc habiller votre famille en entier avec des poches! Quand même le fun ça, non?

Je me dois aussi de vous mentionner à quel point les deux entrepreneurs ne se prennent pas au sérieux. Sérieusement, le site Internet est tellement drôle! En faisant mes recherches, je me surprenais à rire toute seule devant mon ordi. D’ailleurs, leur nouveau site est justement en ligne aujourd’hui! Allez le voir si vous avez envie de rire un coup et par le fait même, vous commander votre poche à vous aussi. C’est bien de savoir que tu seras le ou la seul(e) à avoir ce chandail non? Car c’est toi qui le choisi en entier. Et tient, pourquoi pas faire un cadeau unique en faisant faire un chandail pour ton chum ou ta blonde ou tes amis? Ces chandails sont tellement cool que même ton père en voudrait un, je suis certaine. Voici le lien pour tout comprendre : www.pochesetfils.ca

Bref, la création de Poches et Fils a amené une nouvelle idée du concept sur mesure avec leurs poches uniques. En tant que jeunes entrepreneurs, ils continueront certainement de nous surprendre avec de nouveaux modèles.

Et comme mentionné sur leur site Internet : un jour, les poches renverseront la haute bourgeoisie! – Nostradamus. (Ok, je l’ai rit longtemps quand même celle-là les gars)!


Bonne poche!  

S. xox

mardi 14 juillet 2015

Non...Juste NON!

**Attention** Ne SURTOUT pas prendre cet article personnel. Ne te sens pas blessé / déprimé par mes propos s’ils te rejoignent, mais tu as le droit de te sentir un peu out… Kidding :)




L’écriture de cet article était inévitable. J’ai brainstormer un bon coup avec mes amis pour qu’ils me donnent leur opinion. Nous en sommes venu à plusieurs conclusion. Je me lance, j’ai envie de te parler de tout ce qui est juste NON à porter encore en 2015. Les goûts ne se discute pas, je sais. Maiiiiis, au cas ou tu es encore le ou la seul(e) à encore porter quelque chose dans ma liste ci-bas, je t’ouvre les yeux aujourd’hui pour que tu ne reportes plus ces horreurs.

Sans plus tarder… Mes yeux saignent quand je vois ceci :
  • Un bikini corona et ou toutes autres sortes de bières
  • Une chaine de taille
  •  Des rallonges de cheveux quand tu as les cheveux au menton, tu piges? 
  • Un piercing dans le sourcil
  • Des lunettes soleil blanche style sport
  •  Le maudit autocollant TDC ou TDF sur ton char et puisque tu dois aussi porter ça, les chandails ''f*ck mon ex'' aussi
  • Un crop top avec des pantalons tailles ultra basse
  •  Une mini jupe avec un crop top également
  •  Des talons haut de 10 pouces
  •  Les couronnes de fleurs dans les cheveux
  • Les gars avec les ultra mini bun… attend dont d’avoir les cheveux long
  • Les fonds de cullotes oh et, rendu là, les boxers beeeen slack la tsé...eurk!
  • Les faux ongles trop longs de chix
  •  Les manteaux de cuir blanc avec des stripe style moto racing (disponibles chez Pentagone lol)
  • Les ombré dans les cheveux mais que j’appellerais plus je-l’ai-fait-homemade et au final, ca donne une belle ligne en plein milieu de ta tête, attend d'aller chez la coiffeuse please si tu veux pas avoir l'air de ça!
  •  Les grosses boucles d’oreilles et les gros colliers ensemble… c’est juste trop!
  •  Les camisoles qu'on te voit tout les seins… Ça me met mal à l'aise fille!
  •  Le linge camo
  • Les tattoos ‘’only god can judge me’’
  • Les casquettes déteindu par le soleil, palette effilochée à souhait et sale. Tsé, au pire, ils en vendent au dollorama.

20 points… C’est pas si long! Mais attend, finalement j’ai le goût d’inclure certains traits de personnalité aussi qui selon moi, sont out en 2015 :

  •  Le monde qui juge tout ce qui bouge
  •  Les hypocrites et menteurs
  • Les gens qui postent leurs crises existentielles sur facebook 
  • Les chialeux de festival qui sont fâchés quand tu les ‘’shift’’ alors qu’au final, tu vas seulement reprendre la place que tu avais avant d’aller aux toilettes
  •   Les égoïstes
  •   Les gens qui parlent que de soi
  • Ceux qui ne peuvent jamais s’adapter à rien mais qui veulent tout contrôler et décider
  • Les consommateurs extrêmes de tout
  • Ceux qui pensent juste à l’argent
  •  Les personnalités fermées
  •  Les personnes qui refusent de sortir de leur zone de confort mais qui te trouve toujours chanceux d’être parti en voyage backpack
  •  Les gens qui crient, ca m’énerve
  •  Les personnes trop pressés, surtout sur l’autoroute, ÇA, ÇA M’ÉNERVE VRAIMENT (attend pas que je donne un bon coup de break parce que là, c'est vrai que tu me suivera pu aussi proche)
  •  Ceux qui n’acceptent pas la critique
  • Les amis qui ne te donne jamais signe de vie mais te reproche de ne pas le faire
  •  Le monde trop saoul à être déplaisant
  •  Les gens sur la rue St-Jean, un 14 juillet qui marche trop lentement et qui regarde partout, sans regarder en avant et qui te fonce dedans
  • Les players, joue dont franc. T’en sortira plus gagnant.
  •  Les personnes qui ne tiennent jamais leur promesse
  • Ceux qui ne connaissent pas la politesse
  • Et finalement… les gens trop stricte avec un opinion trop sévère envers les autres, alors qu'au fond, on ne connait pas le vécu de personne.


T’as le droit de me juger par rapport à cet article, tu sais. Moi ça ne me dérange pas. Les gens ne sont pas tous pareil et heureusement que c’est comme ça. Sinon, si tu es en accord avec moi sur la majorité des points, je te fais un gros thumbs up et j’espère t’avoir fait rire un peu en lisant tout ça!

Merci à mes amies Christina et Paule pour l’inspiration et à tous ceux qui ont contribué! It’s a no from me!


S. xox

mercredi 8 juillet 2015

Le tout premier

Dernièrement, en faisant le tour de mon news feed facebook, j’ai vu des cœurs brisés. Ça m’a marqué. Ça m’a même un peu fait mal. Mais j’en ai prit une partie de votre peine, à vous tous.

Il y a plusieurs blogue qui ont publiés des histoires d’amour. J’apprécie beaucoup ce genre d’article, je ne peux m'empêcher de lire de si belles et déchirantes histoires. Comme les commentaires que je reçois souvent à propos de mes articles, je trouve qu’on a tous une partie de nous qui est atteinte en lisant les mots de quelqu’un d’autre et qu’il est souvent facile de se reconnaître à travers ceux-ci.

Ça m’a un peu rendu triste de voir qu’autant de femmes, de filles, de mère, d’amie, de sœur et de nous qui ont si mal à l’amour. C’est certain qu’il est plus facile d’écrire quand on a le cœur lourd et la tête complètement à l’envers, c’est normal. On a parfois envie de partager notre douleur à travers les yeux des lecteurs. On essaie de donner une petite partie de notre douleur à chacun de vous, qui nous lisez. Et c’est bien comme ça. Il ne faut pas tout garder pour nous.

Je pourrais, moi aussi, partager des textes un peu plus noirs, et des histoires que je catégorise de ‘’salement romantique’’ (avec beaucoup de sarcasme ici). Mais je n’ai pas la tête à ça. C’est l’été et j’ai envie de jouer et d’avoir le cœur léger. Anyway, je pense que j’ai assez donné ces dernières années.

Me voilà donc de retour avec un article qui a pour but de vous faire sourire mais aussi réfléchir. J’ai envie de parler du tout premier amour.

Oh, mes oreilles saignent. Je vous entends déjà dire : ouin mais on sait tous que le premier amour, il fait mal, il est intense et on a surtout pas envie de le revivre. Yeah, right. Mais ce n’est pas de ce premier amour LÀ que je veux parler. Je parle du tout premier, tsé celui du : coche oui ou non si tu m’aimes. Bon, peut-être pas là, parce que ça c’est plus ou moins de l’amour. Ben c’est de l’amour mais d’une autre façon.

Non, je parle de ton premier amour du secondaire du moins. Celui que t’as au moins embrassé sans te cacher. Avoue, tu viens de voir un petit visage dans ta tête. Ton kick qui a presque duré 5 ans là? Parfait, on se comprend.

C’était beau, c’était si léger, c’était douuuuux. Je m’ennuie de ça. C’était toujours réciproque (ou presque) cet amour là hein? On était un couple, même si on avait 13-14 ans. On brettait pas à se demander si on était exclusif ou de se donner un nom quelquonque pour éviter le mot blonde ou chum. On avait pas peur de s’afficher et que la planète entière sache que t’étais MON chum. On avait pas peur de l’engagement… parce qu’on savait que ça ne durerait pas toute la vie…probablement.

L’amour dont je te parle était sans tromperies et saloperies. Il était saint, il était facile et il était pure. Il constituait à passer des journées ensemble couchés dans l’herbe à se regarder directement dans les yeux et de se frencher aux 10 minutes, pi tout ça, sans dire un mot. Haha, c’était juste comme ça. On faisait ce que faisait les grands, simplement. (imaginez pas n’importe quoi mes vous autres là!)

Je veux y revenir. Je veux que nos yeux se recroisent et se comprennent comme à notre premier eyes contact. Je veux qu’on puisse se regarder, sans parler et qu'on se comprennent. Ce que je vois et ce que tu vois. Je veux jouer, je veux marcher, courrir avec toi. Je veux un peu de tout ça. Je veux mon cœur d’enfant, je ne veux pas avoir mal, et je ne veux pas me poser de question. Je veux juste prendre mon vélo et rouler le plus vite possible la tête vide. Jusqu'à ce que j'arrive dans ta cours et que je te saute au cou. Pis ça, même si on s'est vu la veille.

Je nous veux simplement comme au parc à 13 ans. Que ça dure aussi longtemps que la première fois, c’est-à-dire, une bonne partie de ma vie jusqu’à présent. Je ne veux plus savoir que tu es aussi loin. Parce que quand tu m’as donné un bout de papier avec écrit : coche oui ou non si tu m’aimes, ben j’avais coché oui sur la tienne.

Et puis toi, ton premier amour, tu en garde un bon souvenir autant que moi?

Je suis contente de te compter parmi les personnes les plus importantes de ma vie, malgré les années et la distance. Merci d’être toi et de me laisser un si beau souvenir de mon tout premier du premier. Merci de me laisser croire que chaque fois que nous nous reverrons, je verrai défiler de si doux souvenirs.

Et que malgré les années qui passent, nous garderont toujours nos coeurs d'enfants lorsque nous nous recroiserons.




S. xox

mardi 7 juillet 2015

LookBook Tea Spoon : Feras-tu partie du mouvement?

J’ai toujours eu un crush pour les vêtements un peu plus ‘’trash’’. Peut-être parce que je trouve que c’est un style dans lequel il est facile d’être original et de se démarquer. De se créer un style unique, même au travers de certaines pièces de base.

J’avais donc envie de vous présenter un style plus urbain et plus street style pour ce lookbook. Avec la collaboration de la boutique Tea Spoon située en basse-ville de Québec, je vous ai créé des looks qui sont cool à porter puisque ces pièces permettent tellement d’être à l’aise et confortable. Et ça mesdames, il n’y a rien de plus beau que ça, une femme à l'aise dans ce qu'elle porte!

Oui, c’est l’été, et oui, les vêtements présentés sont dans les couleurs fonçés. Cependant, rien n’empêche d’ajouter de la couleur au niveau de vos souliers, de vos accessoires pour les cheveux, de vos bijoux ou une pièce qui complète votre outfit. De toute façon, le noir, le gris et le blanc, ça passe partout et perso, moi je ne m’en tanne pas.

Au fait, connaissez-vous Tea Spoon? Moi, j’adore leur collection. Autant pour hommes que pour femmes, chaque pièce est en quantité limité et conçu par des gens ici, de manière unique. S’habiller local, on aime. Et c’est tellement important d’ailleurs. Je reviendrai plus tard avec un article plus précis sur le sujet.

J’aime bien la façon dont ils se décrivent sur leur site Internet. On peut lire :

Collectif d'artistes puisant leur force dans l'originalité et la recherche de nouveauté. Design graphique, dessins, peintures, impressions sérigraphiques, confection de séries limitées, photos, vidéos, tout est fabriqué dans un mode DIY qui donne aux vêtements une identité propre et différente possédant une âme envoûtante. Suivez-nous et faites partie du mouvement.

Ce chandail est idéal pour ce type de matin! ;)





Ça te donne le goût d’embarquer toi aussi? Je te recommande fortement de prendre quelques minutes de ton temps pour aller jeter un coup d’œil à la boutique de Québec. Même la déco est ‘’sur la coche’’! Si tu n’es pas de Québec et des environs, il y a aussi une boutique à Victo et sinon… Il y a le site Internet et Instagram! Mais sérieux, ça vaut le déplacement. En plus, on encourage la mode et des gens d’ici.

Insta : teaspoon_brigade

Il va faire beau cette semaine selon les prévisions. Profites en dont pour aller te promener dans St-Roch et arrête à la boutique te rincer l’œil. Elle est ouverte le jeudi et vendredi de 12h à 9h et le samedi et dimanche de 12h à 17h.

Alors, tu fais partie du mouvement toi aussi? ;)

Merci à la charmante Catherine Duval pour les photos! Allez voir ses pages :
Facebook : Catherine Duval Photo
Instagram : catherined_photographe


S. xox

samedi 4 juillet 2015

Mon corps était ici, ma tête plus loin.



Ce soir était un beau samedi soir. Un samedi soir doux, juste assez agréable pour passer une soirée dehors, verre de vin à la main, devant un bonfire.

Il y avait un moment que je n’avais pas passé une fin de semaine comme celle-ci. Habituellement, je sors avec les potes le vendredi et le samedi je récupère…disons. J’avais envie de vent frais et de repos pour ce week-end. Je me suis donc évadée quelques jours loin de la basse-ville de Québec, de mes activités quotidiennes, des festivités et du trafic. J’ai donc emprunté la route du fleuve et de la tranquillité pour finalement atterrir dans la cours de mes parents. Disons que j’étais pas fâchée! (clin d’œil à quelqu’un ici!)

Le moins que je puisse dire c’est que ça fait du bien, de passer des petits moments simples entourés de ceux qui nous sont chers. De prendre le temps de prendre de nos nouvelles autre que par Facebook, de prendre le temps de discuter ensemble et de prendre soin de nous. Bref, que de bons moments à la maison familiale, comme toujours.

Le but de l’évasion de la ville était également de passer du temps avec moi-même. Qui suit mon dernier article Overdose, je suis à un point où je dois prendre certaines décisions pour mieux éclairer mes directions. J’ai donc pris ce moment durant la soirée du samedi. Beat dans les oreilles comme toujours, je me suis bien installée à l’extérieur et finalement, je me suis complètement laisser emporter par ma musique... qui m’a directement amené à Nashville, en ce 4th of July. God que j’aurais été prête à vendre une jambe et ce, même si elles sont vraiment pas longues, pour être là ce soir. Le 4th of July c’est juste comme… trop fou?!  Et vous savez le plus triste dans toute cette histoire? C’est que cet été, je ne mettrai pas les pieds dans la capitale de la musique et pourtant, j’y suis allée les trois derniers étés. Ça me manque tellement. Alors pour me consoler (ou me déprimer encore plus) j’ai fait défiler des flashback de mes 3 derniers voyages à Nashville dans ma tête et je me suis monté tout qu’un set-up de ce à quoi aurait ressemblé ma soirée si j’étais là encore ce soir.



Je serais probablement dans un hôtel downtown, beaucoup trop cher mais bon, il n’y a pas de camping à Nashville alors on fait avec ce qu’on a! Probablement avec une Budweiser à la main. Jamais je ne bois de Bud ici, mais aux states, t’as comme pas le choix. Donc, Budweiser à la main, un beau gros cheeeeeers avec mes amis en se disant que ce soir sera probablement notre troisième soir de party mais, quand t’es à Nashville, ben tu troques ta fatigue pour un gros YOLO, et tu dis à ta fatigue de repasser la semaine prochaine.

Moi pi mes chumettes on se seraient mit belles, telles de vraies country girl. Cut off jeans ou petite robe ce soir les filles? Chapeau ou casquette? Je mets mes country boots de quelle couleur? Wow… Pas compliqué plus que ça quand t’es là-bas. De toute façon, nous étions tous là pour la même raison : notre amour inconditionnelle pour la musique et encore plus pour le country.

J’aurais donc enfilé mon kit de country girl pour ensuite descendre sur Broadway beaucoup trop festive avec le reste du clan. J’aurais fait un petit arrêt au Tin Roof Broadway, le temps de saluer mon doorman préféré Luke, pour ensuite me diriger au Stage. Nous aurions chanté beaucoup trop fort sur nos country hits préférés et fait un nombre incalculable de demandes spéciales aux chansonniers. Après un ou deux autres verres, nous aurions fait quelques autres pas pour finalement terminer la soirée à notre fidèle bar, le Legend Corner.

C’est beau Nashville. Chaque bar est comme une salle de spectacle. Les amoureux de la musique qui veulent percer se donnent corps et âmes dans ces pubs. Ils nous font vibrer au son du hot country toute la journée mais aussi toute la nuit. Ils le font par passion, car leur salaire est seulement le chapeau passé dans la foule. Donc si vous avez la chance de mettre les pieds à Nashville, tipper les chansonniers, ce sont leur gagne-pain pour rendre votre soirée mémorable.

Avec un restant de voix (je reviens toujours de se voyage sans parler), nous serions retournés sur nos pas vers l’hôtel tous comblés avec un petit sourire en coin, profitant du moment présent, se sentant choyé d’avoir été à Nashville ce soir là et d’avoir pu apprécier le son des guitares et des voix country. Nous aurions mit fin à notre soirée en écoutant le son des claquements de nos 7 paires de country boots réunis, marchant au son de la passion.

Parce que le country, ce n’est pas seulement un style de musique, mais aussi le choix d’un style de vie.

Yep, we are country!



S. xox
P.S : N’oubliez pas le show de Keith Urban au FEQ vendredi prochain sur les plaines! Nous, nous y serons en majeure partie :).


jeudi 2 juillet 2015

Cet été, vient donc faire un tour par che'nous!

Bon, on peut officiellement dire que l’été est arrivé, même si la température d’aujourd’hui nous laisse croire que non. Maiiiiis, je vais mettre du soleil dans ton petit cœur moi!

Bref, ceci veut dire, qu’il est temps de commencer à faire ses plans d’été, si ce n’est déjà fait. Pour ma part, quelques plans sont déjà réalisés et une tonne sont à venir. Je ne sais pas si tu as lu ma To do list d’été? Si la réponse est non, fait-le maintenant. Elle est inspirante et très simple. Ça te donnera des idées, j’en suis convaincue!

Bon, maintenant que tu l’as lu, tu as pu remarquer que je parlais souvent de St-Jean-Port-Joli. D’ailleurs, cet article t’en parlera encore héhé! Dans ma to do list, j’ai fait une brève mention de la nouvelle micro-brasserie, qui se situe à même le fleuve, de trois de mes bons vieux amis. Mais, elle est tellement chouette que ce n’était pas assez. Je ne voulais pas seulement souligner le trait de son existence, mais bien de t’en parler afin que toi et elle, aurez le goût de vous connaître!

Le lendemain de la St-Jean (ben oui, encore une bière!) je suis allée rejoindre David Lebel, un des trois propriétaires de cette charmante place, afin de lui poser quelques questions sur le projet. Non seulement j’avais envie de connaître l’histoire qui se cache derrière tout ça, mais en plus, j’ai envie de te donner le goût d’aller en prendre une bonne à St-Jean-Port-Joli.

C’est donc autour d’une bonne IPA (Indian Pale Ale), la Marco premier de son petit nom (qui fait référence à leur mascotte qui s’appelle Marco), que nous avons discuté de Ras l’bock. Ras l’bock (très cool comme nom d’ailleurs les gars) est la seule micro-brasserie artisanale du coin. Toutes les raisons sont bonnes d’y aller; le staff est dynamique et intéressé, la terrasse est m-a-g-n-i-f-i-q-u-e, tu es dans le plus beau village de la région, les gens sont festifs et… la bière est bonne!

LA terrasse en question, c'est ça la... tu comprends? 



Afin de te familiariser avec Ras l’bock un peu avant d’y mettre les pieds, laisse-moi te la présenter.

Ras l’bock, c’est le projet de trois amis de longue date. Il s’agit de David Lebel, Julien Chouinard et Alexandre Caron. Ce qui est intéressant, c’est que les trois propriétaires sont nés et ont fait le choix de s’installer également à St-Jean-Port-Joli. J’ai demandé à David si le fait de s’incorporer ensemble leur faisait peur un peu au début. C’est sans hésitation qu’il m’a répondu que non, puisqu’ils sont amis depuis toujours et qui savent comment interagir ensemble. Ils ont la même mission et surtout la même passion. C’est si beau! Ce sont trois gars qui ont également le même guts. Pourquoi? Simplement parce qu’ouvrir un commerce en région peut parfois être difficile. On s’entend que la population d’un village n’est pas la même que celle d’une ville. Cependant, ils étaient convaincus que leur projet allait rejoindre plein de gens, de toutes catégories d’âges. Comme je le mentionnais plus haut, c’est la seule micro-brasserie qui se situe entre Lévis et St-André de Kamouraska. Notre beau village était donc l’endroit idéal pour en implanter une nouvelle.

de gauche à droite : Julien Chouinard, David Lebel et Alexandre Caron (les 3 mousquetaires)


Au tout début, les gars brassaient surtout de la bière pour le plaisir. Toute cette belle production se faisait à même le garage du père d’Alexandre. Ça fait maintenant 5 ans, qu’ils passent pratiquement leur week-end à brasser (et a en boire aussi j’espère!) et à travailler fort. Environ deux ans après avoir commencé le brassage, l’idée de partager leur passion est venu. Ils ont donc commencé les démarches pour ouvrir Ras l’bock. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les gars ont de quoi à être fiers d’eux, le résultat est génial. Regarde le beau bar toi!


Et ils ont même fait la première page de certains journaux!



Mais là, vous voulez en savoir plus sur leur bières, avant d’aller faire un tour hein? Laissez-moi vous présenter leurs 5 sortes de bières qui sont toujours disponibles. Bien sûr, il y en a d’autre, et même des spéciales qui s’en viennent, mais pour ça, il faut aller faire un tour ;)!

La Monsieur-Madame
Est une bière blonde, assez maltée et très sèche en bouche. Elle appartient aux Ale/Lager hybride. Cette sorte renferme 5 % d’alcool. Le genre de bière qui ne déplaît à personne quoi!

La barbe-bière
Est une bière rousse américaine à saveur de caramel et noisettes grillées. Le nez floral du houblon agrémente cette bonne bière. 5% d’alcool pour celle-ci également.

La blanche d’Haberville
Est une bière blanche Allemande Weizen. Très bonne, j’adore la bière blanche. Elle est très rafraichissante pour les belles journées chaudes! 5,5 % d’alcool.

La Bitimineuse
Est une bière noire. Une stout américaine. Cette dernière a un très bon côté torifié et un côté assez résineux du houblon. C’est une bière qui a plus de corps, mais qui est relativement douce. 5.5 % d’alcool.

La Solution
Est une bonne IPA américaine qui possède un petit côté caramel. Bon tranchement d’amertume et un bon goût de fruits tropicaux. Quand même un peu plus forte, avec son taux de 6.5% d’alcool.
Le coup de cœur des gars? La Solution, justement. C’est un peu comme leur bière représentative et surtout, une bière bien houblonnée!

Mais, ce n’est pas tout. Cet été, il y aura du nouveau sur les pompes! Il s’agit de bières infusées aux fruits. Par exemple, il sera possible de déguster une bonne blanche infusée aux framboises sur la terrasse. On nous réserve également une bière aux cerises de terres pour la période de l’halloween. Original pas mal, hein?

Ce qui s’en vient pour Ras l’bock :
De l’embouteillage pour l’automne. Ras l’bock prévoit offrir ses produits dans des dépanneurs spécialisés en bières. Bien sûr, le but n’est pas de devenir trop commercial. Simplement d’étendre leur réseau un peu partout au Québec mais ils veulent que leur bières demeurent une bière recherchée. Ce qui est très bien. Ils préfèrent conserver leur petit côté artistique et unique que de faire une bière de moins bonne qualité pour produire une plus grosse quantité. Comme quoi il y a beaucoup de talent là-dedans!

Sinon, vous pourrez aussi rencontrer les 3 propriétaires et brasseurs et goûter à leur bière aux évènements suivants :
-       Festival des bières d’Alma (23-24-25 juillet 2015)
-       Festiparc – Parc Saint-Nicolas, à Montmagny (du 6 au 9 août 2015)
-       Bièrefest de Rivière-Du-Loup (18-29-20 septembre 2015)
-       OktoberFest (chez Ras l’bock) en octobre. Il y aura une bière spéciale pour l’occasion et même un menu style allemand pour la nourriture. Bel évènement à ne pas manquer!

Il est également possible de boire une bière Ras l’bock au Café Azimut de La Pocatière, au restaurant du Quai de l’Islet et finalement, au Bistro O.K, ici-même, juste en bas de la micro-brasserie, à St-Jean-Port-Joli.

Si le temps vous manque pour prendre une bière au bar ou participer à ces évènements, il sera maintenant possible d’aller à la boutique de Ras l’bock et de faire emplir votre propre cruchon de bière! Sérieusement, ce n’est pas le manque d’idée chez ces gars-là! Il suffit seulement de vous procurer le cruchon en question, soit à la boutique directement ou encore à la micro-brasserie, de faire remplir de la sorte que vous aimez (à la boutique seulement) et de repartir à la maison avec une bonne bière à apporter! Le cruchon est en vente à 15$ (vide) et à 20$ avec le premier remplissage. It’s a big deal! Sinon, il est également possible de se procurer un beau verre ballon, un t-shirt (homme et femme, j'adore le mien, merci!) et un pot masson à la boutique et au bar également. Voyez le beau chandail! 





J’espère vous avoir donné le goût de venir nous visiter à St-Jean-Port-Joli et d’arrêter relaxer un petit moment chez Ras l’bock en admirant le fleuve. Ce n’est que le début, comme disent les gars… Et pour ma part, je sais qu’il y a énormément de nouveau qui s’en vient pour eux et qu’ils n’ont pas fini de nous surprendre. Bon succès les chums!

Instagram : raslbock
Adresse de la micro-brasserie : 250, rue du Quai, St-Jean-Port-Joli 
Adresse de la boutique : 4-B, Chemin du Roy Est, St-Jean-Port-Joli

Cheeeers! Et nous, on se voit ce week-end!


S. xox